L’intégration des aspects
environnementaux est au cœur
du processus de conception
du projet de l’agence
UNIC architecture.

C’est pourquoi l’agence à décidé d’intégrer,sur chaque projet, les compétences d’un ingénieur environnemental afin de valoriser une vraie démarche bio-climatique transversale à toutes les étapes du projet.

Nous abordons la qualité environnementale du Bâtiment (Q.E.B.) comme une démarche de conception. Il s’agit de répondre par l’architecture et l’urbanisme aux attentes des usagers (attentes fonctionnelles, de confort, de santé, d’ambiance, de durabilité – entretien et maintenance – d’accessibilité ; en prenant en compte au mieux les contraintes climatiques, environnementales, écologiques, et économiques. Très souvent, le bon sens, l’observation de l’existant (culture) et de l’environnement proche, une pensée à long terme et en coût global (investissement construction – fonctionnement – déconstruction) ainsi qu’un travail d’équipe approfondi et partagé, c’est pourquoi celle-ci est intégrée à la naissance du projet avec les architectes urbanistes, permettent de réaliser des bons projets : pour les usagers (« cibles » de confort et santé), pour les gestionnaires et l’environnement proche et lointain (« cibles » d’éco construction et d’éco gestion, cibles si l’on parle certification).

Deux approches de la Q.E.B. peuvent être envisagées : Une approche passive, où l’architecture répond d’elle-même aux enjeux énumérés ci-avant et entraînant des coûts de fonctionnement grandement réduits, valorisant le travail collaboratif, et la matière grise. Une approche active où les procédés et systèmes techniques participent principalement à l’obtention des objectifs. Selon nous, la logique du développement durable dans l’architecture et l’urbanisme doit pousser dans le sens d’une approche passive où le projet (sa forme, ses composants et matériaux, ses procédés architecturaux…) assure la base nécessaire au confort et à la santé des usagers, la technologie n’intervenant ponctuellement que pour l’amélioration de ces concepts passifs et une gestion du bâtiment optimisée, augmentant ainsi les performances du projet, l’objectif à terme étant que chaque bâtiment, îlot ou ensemble occupé soit autonome en fonctionnement et présente un moindre impact environnemental. Il s’agit en réalité au moyen de cette démarche, d’apporter par le projet architectural réalisé une réponse locale à une problématique régionale et globale. Au cours de nos différentes collaborations, nous avons pu développer ainsi une culture du projet en apportant cette vision de l’éco-construction dans les multiples équipes pluridisciplinaires pratiquant diverses approches architecturales et urbaines, en nous appuyant notamment sur des outils de caractérisation des ambiances d’une part et d’évaluation de l’énergie grise et de l’énergie blanche des espaces étudiés aux différentes phases de conception.

Notre objectif est de réduire le recours aux équipements techniques en réfléchissant à l’approche passive et aux solutions architecturales plus durables. Les projets, sur lesquels nous travaillons participent aux appels à projets de la région et de l’ADEME, ainsi qu’aux évaluations des Bâtiments Durables Méditerranéens.

Deux approches de la Q.E.B. peuvent être envisagées :
Une approche passive, où l’architecture répond d’elle-même aux enjeux énumérés ci avant et entraînant des coûts de fonctionnement grandement réduits, valorisant le travail collaboratif, et la matière grise.
Une approche active ou technologique où les procédés et systèmes techniques participent principalement à l’obtention et l’atteinte des objectifs en palliant aux manquements de l’architecture.
Selon nous, la logique du développement durable dans l’architecture et l’urbanisme doit pousser dans le sens d’une approche passive où le projet (sa forme, ses composants et matériaux, ses procédés architecturaux…) assure la base nécessaire au confort et à la santé des usagers, la technologie n’intervenant ponctuellement que pour l’amélioration de ces concepts passifs et une gestion du bâtiment optimisée, augmentant ainsi les performances du projet, l’objectif à terme étant que chaque bâtiment, îlot ou ensemble occupé soit autonome en fonctionnement et présente un moindre impact environnemental.
Il s’agit en réalité au moyen de cette démarche, d’apporter par le projet architectural réalisé une réponse locale à une problématique régionale et globale.

Au cours de ces différentes collaborations, nous avons pu développer ainsi une culture du projet en apportant cette vision de l’éco-construction dans les multiples équipes pluridisciplinaires pratiquant diverses approches architecturales et urbaines, en nous appuyant notamment sur divers outils de caractérisation des ambiances d’une part et d’évaluation de l’énergie grise et de l’énergie blanche des espaces étudiés aux différentes phases de conception.
Travaillant avec des bureaux d’étude fluide ou d’ingénierie pus traditionnels, au sein de ces équipes de maitrise d’œuvre, nous immisçons, cette démarche de projet orientée éco-construction de manière complète, tout en mettant à profit leur connaissance et maitrise respectives des équipements de traitement d’ambiance ou de dimensionnement des structures. Notre objectif avoué est de réduire le recours aux équipements techniques non nécessaires (chauffage, rafraichissement, ventilation mécanique) en réfléchissant avec eux à l’approche passive et aux solutions architecturales, plus du- rables. Les projets, sur lesquels nous travaillons dans ce cadre là, participent aux appels à projets de la région et de l’ADEME, ainsi qu’aux évaluations des Bâtiments durables Méditerranéens.